Un weekend de Pacques hyper actif et bricolages jardinier
Initialement, je devais être en Camargue, à galoper sur les plages des Saintes-Maries ...
Sauf que Bohême a décidé de me faire une belle peur il y a un mois en faisant une fourbure médicamenteuse.
Elle s'en sort très bien mais, son état de santé impose deux visites quotidiennes que je ne peux déléguer.
Je n'ai donc pas pu non plus aller en Normandie ou Pacques est synonyme de rassemblement familial.
C'est finalement une visite de Laurence, venue de Suisse qui me permettra d'éviter de "broger" une bonne partie du weekend
On as bien évidement rendu visites à Djinfizz qui guerrit doucement mais surement et qui devrait être de retour d'ici une dizaine de jours maximum.
Bon, il faudra lui expliquer que même si il pousse, à force de grandir, il ne pourra plus passer
Puis, on est allé se percher sur les Hautes Chaumes.
C'est pas encore le printemps là haut, mais les premières jonquilles pointent le bout de leurs pétales.
Comme les bons moments passent toujours trop vite, Laurence est repartie dimanche midi (le vendredi est ferrié en Suisse) et j'ai passé la suite du weekend pascal à jardiner.
J'en ai profité pour poursuivre les plantations des achats de la fête des plantes de St Jean et de St Priest, poursuivre mes bricolages de structure et hélas couper une bonne partie du rosier Albertine
En effet, la belle Albertine est en grande partie morte. Il a été parmis les premiers rosiers plantés au jardin et c'était un mur de fleurs. A la sortie de l'hiver il m'avait semblé qu'une partie était sèche mais j'ai préféré attendre. Se que je craignais c'est avéré exact. Le pied de départ est à priori mort et j'ai enlevé la majorité du rosier "d'origine'.
Il va y avoir un beau gros trou ... En dépalissant le reste du rosier, je devrai pouvoir limiter les dégats mais j'espère que se n'est pas la souche entière qui disparaitra
J'ai fais trois brouettes de branches mortes (brulées au cas ou .....) et utilisé la scie d'élagage pour couper le tronc.
J'ai également agrandi (bon d'accord, de 3m²) le massif de la haie de troene. J'avais anticipé et m'étais fournis en troène à l'école (4,2 € le pied X 2) et avais acheté un poteau ainsi que son support. Le reste n'est que de la récup
Après plusieurs essais j'ai finalement réutilisé des douelles de toneaux que j'ai comprimé et sur lesquels j'ai fixé les piafs métaliques en stock.
A son pied, le malus coccinela déplacé (qui servira de point focal en été avec on feuillage sombre), une spirée japonica alba (achetée à St Priest), le rosier "des étoiles pleins les yeux" et des lavandes colorées achetées à l'école
Puis, j'ai réutilisé les piquets à tomates, des tasseaux (trop souple et qui donc plient) et un second poteau et son ancre pour créer une structure qui délimitera le massif "bleu citron" et je l'espère restreindra les passages de Ma-Fi entre le massif et le potager juste derrière .
Et puis, pendant que je jardinais, le printemps c'est invité au jardin.
Le massif créé l'année dernière, tout au fond du jardin, vers le fil à linge.
Perchée sur mon escabeau, en regardant vers la maison
Détail de floraisons dans le jardin du haut
L'amélanchier, couvert de fleurs
Le massif jaune du pignon (Nathalie, c'est sous celui qu'il y a la cuve de 10 000 l d'eau) se réveille doucement
Depuis la terrasse, après que le vent de cette nuit aie une fois de plus soulevé les tôles de l'abri à bois qui sera démonté (cassé par la tempête de neige d'octobre)
A bientôt
La pluie est enfin de retour
Je vais donc en profiter pour me percer les doigts
Hélène
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