les-cavaliers-du-Haut-Forez

Après une bonne nuit malgré la proximité de la nationale et une soirée à discuter, nous voici repartis à travers la Beauce. Nous enchainons les céréales: Orge, blé, colza, maïs mais aussi plus étonnant des champs entier de soucis, de chicoré en fleurs, facélie, vesce, petits pois, haricots vert ou oignons qui sont ramassés comme les patates vers chez nous.

Des soucis à perte de vue

De beaux chemins herbeux parcourent la Beauce

Nous slalomons dans un patchwork de parcelles or, brune ou blonde dont les couleurs changent en fonction de la luminosité.

Les habitations sont rares et hémergent tout juste des céréales. On repère les villages de loin aux clôché qui surnagent. Les routes sont identifiables par les lignes électriques.

Nous avons de la chance, les chemins indiqués sont bel et bien présent. Les 25 km du jour sont donc parcourus relativement facilement.

Nous arrivons à Champigny en Beauce où la place ombragée nous attends.

Annie notre cordon bleu de la semaine

Les chevaux font une pause et en profitent pour attaquer leur sieste pendant que Lulu part en quête du bivouac du jour.

Mr le Maire est vite trouvé: c'est le garagiste du village. Nous sommes accueillis comme des rois et les chevaux auront pas loin d'un hectare à se mettre sous la dent.

Ils commencent par une bonne sieste puis attaquent leur boulot.

Après la visite d'un propriétaire de chevaux du village et une bonne heure à discuter nous partons chercher le camion.

A notre retour Lulu embarque le fil qui emmène le jus à la parcelle où nous sommes logés pour le 14 juillet. Quelques minutes plus tard, l'incident est réparé.

La personne qui était venu nous propose un accès à internet ainsi qu'une douche ce que nous ne refuserons pas.

Hélène