les-cavaliers-du-Haut-Forez

La soirée du 11 sera consacrée à l'organisation de la journée du 12 et des jours de repos qui suivront. Grâce à la personne rencontrée, je récupère les numéros de téléphones des clubs aux alentours de la ville de Vendômes. Le cadre vert accepte de nous loger plusieurs jours en paddock. Cela implique la traversée de la ville qui peut se faire soit en camion soit à cheval.

On préfère anticiper une traversée en camion ce qui nécessite son rangement. Une partie de la mâtinée y est donc consacré. Il est par conséquent assez tard quand nous partons. Cracra reste en voiture car il est est inutile de chercher les complications.

Nous continuons à travers la Beauce ce qui me permet de faire la plus longue ligne droite que j'ai jamais faite à cheval : 7 km !!!

Puis nous traversons le jolis village de Selomnes et son étang.

Il est un peux plus de 14 heures quand nous arrivons vers Vendôme. Le début semble relativement simple puisque le GR que nous suivons emprunte un petit bois. Sauf que ce dernier est parsemé d'embuches en tout genre comme des escaliers, des barrières ou des bornes.

Vue Vendômes depuis le petit bois qui surplombe la ville

Untuition se comporte à merveille.

On décide donc de tenter la traversé à cheval au moins jusqu'au camping qui devrait permettre une attente du camion en relative tranquilité.

Comme ce début de traversé se passe bien: on continue.

Untuition ne s'inquiète ni du bus qui la frôle, ni des camions ou de la balayeuse qui passent juste à côté d'elle.

Une heure après nous arrivons au centre équestre où nous sommes attendus. Les chevaux sont dessellés et mis au paddock. Louragan qui était dans son coin décide cependant de rejoindre CES filles et prends la direction du paddock voisin.

Il est 16 heures quand avec Lulu, Annie et moi repartons. Lulu récupère le camion et retrouvera Rémi dans la soirée pendant qu'avec Annie nous rentrons dans la Loire. Annie s'occupera de son petit fils, j'irai emmener Terry chez mes parents et je récupèrerai une selle pour Lulu car ces étrivières bien que fraichement remplacées sont en train de rendre l'âme.

Hélène