les-cavaliers-du-Haut-Forez

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Le jardin du haut

Comme son nom l'indique, cette partie du jardin communique avec la pièce du haut. La maison étant semi enterré, nous sommes de plein pied en bas comme à l'étage. On y accède après avoir passé le portillon du four à pain et longé le massif très étroit où sont plantés les pommiers en cordon.

 

Cette partie du jardin est la plus récente. Il y avait il y a encore trois ans une haie de prunus laurocerasus (beurk) un rhus tiphina (méga-beurk) de la pelouse (enfin du vert au sol parce que ça ne méritait pas le nom de pelouse) un muret en partie écroulé et du cotonéatser horizontalis. Autant dire que c'était pas top tout ça. Je me suis fais pas mal de noeuds au cerveaux pour trouver comment organiser le lieu qui a une faible surface, clos par les panneaux de bois de la voisine et par un muret de pierre qui ceinture le jardin.

 

Erwan Timen dit : "plus un espace est petit plus il faut le cloisonner". Donc je cloisonne et au final se sont trois espaces différents qui apparaissent petit à petit.

Le massif à droite du banc est planté de grands arbustes et de vivaces de mi ombre. On y trouve l'amélanchier, l'abélia, du cornus, deux ou trois lavandes, le rosier pink cloud, le rosier fée des neiges, le viburnum burkwoodi récemment acheté, un lonicera japonicae et un budleya davidi oiseaux bleu. Au milieu des vivaces se sont installées comme de la primevère, des iris, des lupins, des anémones du japon et du lychnis rose foncé. Les bulbes sont dignement représentés par les crocus, tulipes et narcisses thalia parfumés. Se massif commence à prendre bonne tournure et c'est maintenant l'amélanchier qui nous regarde de haut et non l'inverse.

 

Voilà le résultat l'année dernière (je manque de photos " de groupe" mais je compte bien combler se manque cette année)

 

 

En face du banc, se sont des vivaces et des rosiers qui sont plantés en compagnie d'une pivoine arbustive à fleurs simples récupérée chez des voisins plus bas dans le village. Le genre géranium est présent en majorité, suivit de prêt par les campanules et les rosiers. A terme, l'acer ginala devrait donner du volume à ce massif adossé au mur de la maison et profitant donc des rayons du soleil printanier. 5 rosiers (dont cardinal de richelieu, yollande d'aragon, rose des peintres ou centenaire de lourde) ont été plantés au printemps 2012 et devraient cette année émerger du mélange de vivaces.

 

 

Lorsque l'on vient du jardin du bas et que l'on veut rentrer par la porte fenêtre, après le banc, le cheminement se resserre pour s'élargir ensuite sous forme d'un cercle. Une arche de fer à béton est prévu et devrait accueillir le rosier 'the generous gardener' acheté cet automne et qui patiente en pot. Rémi voulant impérativement conserver de la pelouse; le massif d'origine était très étroit et manquait énormément de profondeur. J'ai passé deux ans à ronger mon frein (ou plutôt ma bêche) et à l'automne j'ai craqué. J'ai donc ajouté un mètre au massif se qui m'a permis d'installer de petits arbustes et déplacer les rosiers coincés le long du muret et les accompagner de vivaces. C'est d'ailleurs dans se massif que l'essentiel des plantations du printemps 2013 ont été faites

Moins d'herbe= moins de tondeuse mais plus de vivaces, d'arbustes et de rosiers.

 

Avant modification

 



15/04/2013
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