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Présentation : le jardin du bas

Le jardin du bas est le jardin par lequel on accède à la maison.

A mon arrivée en 2009 il y avait un alignement de prunier, le grand conifère, des arbustes le long du grillage et un énorme rosier Mme Meilland.

 

Voici approximativement cette partie du jardin à l'automne 2013

 

 

Cette partie est divisée en plusieurs massifs. Il y a complètement clôturé le potager. On y accède par des portillons dont un assez large pour permettre de passer avec le petit tracteur pour y déposer du bois à sécher ou labourer à l'automne.

Le reste du jardin est lui aussi clos par un muret de granit surmonté d'un grillage. Ma voisine l'a doublé avec des panneaux de bois et une haie de cyprés de leyland bien opaque qui me prive de la vue sur le paysage lointain.

Le jardin du bas peut se diviser en plusieurs massifs :

- Celui très étroit qui borde le mur de la grange qui sera remanié quand on aura réouvert le mur de la grange côté rue. Une bonne partie des rosiers, les crocus et plusieurs vivaces étaient déjà plantés à mon arrivée en 2009

- Le massif sous les pruniers planté de vivaces de mi ombre et qui a été en partie remanié l'automne dernier. Les iris ont déménagés vers le jardin du haut et seront ainsi moins soumis aux agressions canines.

- Le massif du côté de la voisine qui est le plus étoffé et qui comprend plusieurs arbustes adultes.

- La haie côté rue

- Le petit massif du cotinus coggigria et avant le four à paim

 

Le massif au pied de la grange du côté des boxes au printemps 2013 :

De gauche à droite : les rosiers Gislaine de Féligonde et Aimé Vibert, de la monaie du pape (qui s'installe dans le moindre interstice et que j'arrache en grande partie après sa floraison), du népéta , de la lavande, le viburnum fragans  puis l'énorme rosier Mme Meilland

 

Le massif sous les pruniers à l'été 2012: centranthus, digitales (elles viennent des bois juste derrière le jardin) de l'alchémille, des campanules, delphinium, géraniums, marguerites des prés et au fond un rosier que j'ai déménagé car trop à l'ombre. Et puis bizarement cet été là, deux pieds de salade ont levé dans les géraniums que j'ai laissé pousser.

 

 

La partie haie qui longe la "rue" au printemps 2013 : A gauche : un Deutzia déjà présent avant mon arrivée, un physocarpus que j'ai planté en 2009, un petit cornouiller panaché et à droite une spirée déjà là avant moi tout comme le rosier Westerland dont on aperçois les boutons sur le haut de la photo à droite. Il y a aussi dans se massif le rosier Compte de Chambord, une ribambelle de petits "Fairy" blanc, un liquidambard et un gros pied de rhubarbe (il doit avoir 20 ans vue comme il est gros) dont je me régale chaque été. 

 

 

Et puis enfin il y a la réalisation de 2013. C'est un coin ou il y avait "un trou" et avant de me lancer dans la réalisation d'une véritable terrasse bois j'ai posé au sol deux palettes l'une légèrement sur l'autre pour respecter ainsi la légère pente. C'est devenu "mon nid" . Une fois dans mon transat j'ai le nez dans les rosiers (Yollande d'aragon, Chapeau de napoléon, lavander dream, blanc double de coubert, Martine Guillot..... ), le viburnum opulus me fait de l'ombre et j'ai la vue sur Mme Meilland. Avouez qu'il y a pire !!!  Bref, les matins d'été quand je suis pas sur le dos de ma jument, en train de bricoler, ou dans la maison, c'est là qu'on me trouve. Les végétaux ne sont pas encore adulte mais ça prends forme

 

 



19/03/2013
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